3 DÉCEMBRE 2025
Par Cécile
Adopter un chien, que ce soit un chiot, un adulte de refuge, un chien réactif, un senior ou un “coup de cœur”, c’est rarement anodin. On fait entrer dans sa vie un être vivant, sensible, qui dépend de nous pour sa sécurité, son bien-être, ses apprentissages.
On parle beaucoup de l’amour, des câlins, des grands yeux qui font fondre. On parle moins de ce qui se passe en coulisses : la charge mentale que cela représente.
Cet article n’est pas là pour culpabiliser, mais au contraire pour te dire clairement : 👉 oui, c’est normal que ce soit parfois lourd, 👉 oui, tu as le droit de te sentir fatigué(e), 👉 et non, ça ne fait pas de toi un “mauvais humain” pour ton chien.
Peu importe le profil du chien, il amène avec lui une petite révolution du quotidien.
Avec un chiot, il faut gérer la propreté, les dents sur les mains, les “bêtises”, l’apprentissage de tout… en même temps.
Avec un chien adulte, surtout s’il vient d’un refuge ou d’un passé difficile, on découvre au fur et à mesure ses peurs, ses habitudes, ses besoins particuliers.
Avec un chien âgé, il y a les soins, les éventuels médicaments, le rythme plus lent, les douleurs à prendre en compte.
Avec un chien réactif, il faut anticiper les sorties, l’environnement, les croisements, la météo sociale autour de soi.
Et ça se superpose à tout le reste :
La tête tourne vite à plein régime :
“Est-ce qu’il a assez dépensé aujourd’hui ?” “Est-ce que j’ai bien géré cette rencontre ?” “Est-ce que je fais ce qu’il faut pour l’aider ?”